Publications

Plume, fable duveteuse pour interprète étrange

Image de la couverture. La première de couverture est rouge et sans illustration. Le titre « Les hommes trans sont-ils des salauds comme les autres » et le sous-titre « Transmasculinités, féminisme et patriarcat » sont écrit en noir, à l’exception de « des salauds » écrit en blanc. Le nom de l’autre « Alistair Houdayer » est écrit en blanc en dessous. En bas, le nom et le logo de la maison d’édition Double Ponctuation, une suite de signe de ponctuation en blanc : « ( : ? ! ; ) »
Image de la quatrième de couverture. Elle est principalement blanche avec un accent rouge dans le coin supérieur droit. La présentation du livre est écrite en noir : « Dans cet essai, Alistair Houdayer explore la place des hommes trans sous le prisme du féminisme. Ont-ils un rôle à y jouer et si oui, lequel ? Ou bien s’intègrent-ils dans les normes patriarcales une fois leur transition réalisée et exercent-ils leur domination masculine – comme tous les autres hommes ? Il est aussi intéressant d’essayer de comprendre pourquoi nous nous posons ces questions. Que disent-elles, avec les réponses que nous y apportons, de nos conceptions des masculinités trans et des hommes en général ? » En dessous, une photo de l’auteur et un texte de présentation. La photo montre Alistair assis dans mon fauteuil roulant dans un parc. C’est un homme blanc avec les cheveux bruns attachés en chignon et une moustache. Son fauteuil est un fauteuil roulant manuel actif blanc. Il porte une chemise rouge sombre avec des motifs végétaux moutarde et bleu d’inspiration batik, un pantalon noir et des chaussures basses en cuir noir. Il porte des lunettes et un pendentif en pierre verte autour du cou. Le texte de présentation est : « Alistair Houdayer est un homme gay, trans et handicapé qui écrit et réalise du contenu de vulgarisation sur les enjeux queer et de handicap. En haut à gauche, la collection du livre : point d’orgue. En bas à droite, le code barre du livre et le prix : 12€. En bas à gauche, le nom et le logo de la maison d’édition Double Ponctuation, et un logo « pas d’IA ».

« Tout ce temps j’avais des plumes et vous m’avez menti ? »

Plume est la fable théâtrale du parcours initiatique d’un enfant handicapé qui, petit à petit, (re)découvre son corps, sa différence, ses fragilités, ses forces et sa beauté. Elle parle de la violence des normes imposées aux corps divergents, de l’importance de la rencontre et de la parole entre personnes handicapées et de la nécessité, plus encore que partout ailleurs, de l’amour de soi.

Vous pouvez lire des extraits ici.

Vous pouvez écouter la première scène de l’audiobook ici.

Vous pouvez acheter la pièce en version papier, audio ou ebook ici.

Les hommes trans sont-ils des salauds comme les autres ? Transmasculinités, féminisme et patriarcat

Image de la couverture. Elle est rouge et sans illustration. Le titre « Les hommes trans sont-ils des salauds comme les autres » et le sous-titre « Transmasculinités, féminisme et patriarcat » sont écrit en noir, à l’exception de « des salauds » écrit en blanc. Le nom de l’autre « Alistair Houdayer » est écrit en blanc en dessous. En bas, le nom et le logo de la maison d’édition Double Ponctuation, une suite de signe de ponctuation en blanc : « ( : ? ! ; ) »
Image de la quatrième de couverture. Elle est principalement blanche avec un accent rouge dans le coin supérieur droit. La présentation du livre est écrite en noir : « Dans cet essai, Alistair Houdayer explore la place des hommes trans sous le prisme du féminisme. Ont-ils un rôle à y jouer et si oui, lequel ? Ou bien s’intègrent-ils dans les normes patriarcales une fois leur transition réalisée et exercent-ils leur domination masculine – comme tous les autres hommes ? Il est aussi intéressant d’essayer de comprendre pourquoi nous nous posons ces questions. Que disent-elles, avec les réponses que nous y apportons, de nos conceptions des masculinités trans et des hommes en général ? » En dessous, une photo de l’auteur et un texte de présentation. La photo montre Alistair assis dans mon fauteuil roulant dans un parc. C’est un homme blanc avec les cheveux bruns attachés en chignon et une moustache. Son fauteuil est un fauteuil roulant manuel actif blanc. Il porte une chemise rouge sombre avec des motifs végétaux moutarde et bleu d’inspiration batik, un pantalon noir et des chaussures basses en cuir noir. Il porte des lunettes et un pendentif en pierre verte autour du cou. Le texte de présentation est : « Alistair Houdayer est un homme gay, trans et handicapé qui écrit et réalise du contenu de vulgarisation sur les enjeux queer et de handicap. En haut à gauche, la collection du livre : point d’orgue. En bas à droite, le code barre du livre et le prix : 12€. En bas à gauche, le nom et le logo de la maison d’édition Double Ponctuation, et un logo « pas d’IA ».

Dans cet essai, Alistair Houdayer explore la place des hommes trans sous le prisme du féminisme : ont-ils encore une place à y occuper et si oui, laquelle? Ou s’intègrent-ils dans les normes patriarcales une fois leur transition réalisée et exercent-ils leur domination masculine à l’instar des autres hommes ? Mais aussi, et peut-être surtout, pourquoi nous posons nous ces questions ? Et qu’est-ce que les réponses que nous y apportons disent de notre conception des masculinités trans et des hommes en général ?

Vous pouvez acheter la version papier ou e-book ici.

Les artistes peuvent-iels tout dire ?

Le stock de cet ouvrage est écoulé pour la vente, mais vous pouvez peut-être le trouver en bibliothèque !

« Les artistes peuvent-iels tout dire ? » est un ouvrage collectif des éditions Monstrograph, regroupant les témoignages et réflexions de 17 artistes et créateurices sur la liberté d’expression et les paniques morales sur « la cancel culture » et « la menace woke ».

Dirigé par Guillaume Nail, avec des témoignages de : Ayouba Ali, Hakim Atoui, Johanny Bert, Leslie Barbara Butch, Marie Docher, Camille Ducellier, Habibitch, Alistair Houdayer, Axelle Jah Njiké, Guillaume Meurice, Laura Nsafou, Oh Mu, Ovidie, Christelle Pécout, Kelsie Phụng, Niels Rahou et Boulomsouk Svadphaiphane.